Le jour ne se lèvera plus pour moi,
J'en prends conscience et j'en ais bien peur,
Je constate par évidence avec stupeur,
Que toute chose est finie pour moi,
Des brides de souvenir me reviennent,
Avant je devais être dans ce monde ici bas,
Avec la peur lointaine du trépas,
Mais la faute de cela est-elle mienne,
Je crois voir d'où viens tout cela,
La vérité n'est pas cachée dans mon esprit,
Mais dans mon cœur meurtri,
Mon passé le voilà,
J'ai aimé et désiré cet être cher,
C'était à mes yeux la plus belle femmes de la terre,
Mais dans le fléau contre la différence,
Il ne me restait que la souffrance,
Alors mes larmes n'ont servit qu'a pleurer,
Et il me fallait l'enterrer,
Au plus profond de mon cœur,
Mais cet amour était encore douleur,
J'ai alors ressentit,
Comme une plainte de l'infini,
Et mon cœur sans est aller,
Il n'a été que consumer.
Commentaires
il est bien triste ton poème d'amour ! que de souffrances il exprime , j'adore ce blog ci , je le trouve rempli de petites merveilles ! merci , bisous à bientot !