Calme calme ma voix se recueille et t’attends,
Si ta main sur la feuille posée tremble un peu,
C’est que bonne ou mauvaise voici bien longtemps,
L’heure passe et nous lasse de n’être que deux.
Sur la page aussi blanche et pure que ton corps,
Niant l’âge s’endort mon sang à couleur d’encre,
Et tandis que tes yeux accueillent dans leur port,
Mes mots berces seuls sur tes lèvres roses 's'accrochent
et ta bouche en silence, redit ces mots suppremes ,
A ma plume échappé un mot insoumis,
Ralentit ta lecture Egayée tu frivoles,
Je jalouse mes mots car ils voient mon amie.
A la fin de l’écrit tu t’étonnes soudain,
D’avoir lu tous mes signes les avoir goûtés,
Et pourtant Que m’a-t-il écrit D’aimer Rodin,
Non Relisons « Que j’aime ton sein velouté
comme la mer se déchaine dans la tempéte ,
on peut lire dans mon regard toute la puissance
de l'amour que j' ai pour toi...........................
Commentaires
Salut, bel article bravo. Stéphane