Alors que finissait la journée estivale ,
Nous marchions ,toi pendue à mon bras,moi révant
A ces mondes lointains dont je parle souvent,
Ainssi regardais-tu chaque étoile en rivale.
Au retour, à l' endroit ou la cote dévale,
Tes genoux fléchi sous le charme énervant
Dela soirée et des senteurs qu'avait le vent.
Venus,dans l' ouest doré, se baignait triomphale.
Puis las d'amour, levant les yeux languissamment,
Nous avons eu tous deux un long tressaillement
Sous la sérénité du rayon planétaire.
Sans doute ,à cet instant ,deux amants, dans vénus,
Arrétes en des bois aux parfums inconnus ,
Ont ,entre deux baisers ,regardé notre terre.
Commentaires
il est très beau ton billet.
et encore tous mes voeux
Bisous