mais aucun de nos souvenirs
ne s'effacent,le temps passe
,
Ce temps qui nous meurtri,
Chaque jour de notre vie.
Nuit après nuit,
De toi je m'ennuie,
Jour après jour,
Je prie pour ton retour.
Mais le temps me fera t'oublier,
Comme il a fait pour tout ce que j'ai enduré,
Mon coeur voudrait que tu reviennes,
Mais il reste cette haine,
Dans chacun de mes poèmes,
Ressens tu ce que je ressens ?
Intense est ce sentiment.
Amour ? Haine ? Dégout ?
Comment savoir, je ne sais plus,
Mais où ? Où es tu ?
Toi que j'aime ou que je n'aime plus.
Je suis complètement perdu,
Aide moi a retrouver le chemin,
De ma vie en déclin.
Hermine/w
1. CREASYLE le 17-11-2010 à 17:13:23 (site)
Très beau ton écrit et ton blog, j'aime beaucoup ce que tu fais, très jolie soirée pour toi. Amitiés
1. tendremamie le 16-11-2010 à 15:46:40 (site)
je viens te remercier de ton passage...le verbe aimer est le plus beau verbe de la langue Française...
Je reviendrai lire tes écrits...
passes une bonne soirée bonne soirée
2. anouman le 16-11-2010 à 20:04:11 (site)
et bien je suis ravie de passer chez toi tres beaux ecrits qui parlent d'amour des passages emouvant !!!tres belle soirée a toi avec de gros bisous!!!
3. lapinbleu2 le 17-11-2010 à 06:34:09 (site)
kikoo !!
merci pour ta date d'anniversaire que je vais noter sur soisic..
peux tu me noter juste en cliquant sur la note de ton choix juste en dessous de mon bandeau.. lolllll.. mais pour ça, tu clic sur SITE..
belle journée de mercredi..
kissouilles.. jean claude..
édité le 17-11-2010 à 07:34:50
4. horizon66 le 17-11-2010 à 08:28:26
Salut, je viens te souhaiter une belle journée. Chez moi c'est le brouillard. Gros bisous, Stéphane
blessure
Hermine /w
1. horizon66 le 16-11-2010 à 12:21:22
Hello, tu débutes bien bravo, belle après-midi à toi. Stéphane
Calme calme ma voix se recueille et t’attends,
Si ta main sur la feuille posée tremble un peu,
C’est que bonne ou mauvaise voici bien longtemps,
L’heure passe et nous lasse de n’être que deux.
Sur la page aussi blanche et pure que ton corps,
Niant l’âge s’endort mon sang à couleur d’encre,
Et tandis que tes yeux accueillent dans leur port,
Mes mots berces seuls sur tes lèvres roses 's'accrochent
et ta bouche en silence, redit ces mots suppremes ,
A ma plume échappé un mot insoumis,
Ralentit ta lecture Egayée tu frivoles,
Je jalouse mes mots car ils voient mon amie.
A la fin de l’écrit tu t’étonnes soudain,
D’avoir lu tous mes signes les avoir goûtés,
Et pourtant Que m’a-t-il écrit D’aimer Rodin,
Non Relisons « Que j’aime ton sein velouté
comme la mer se déchaine dans la tempéte ,
on peut lire dans mon regard toute la puissance
de l'amour que j' ai pour toi...........................
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